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Des partenaires précieux en accord avec nos valeurs
Faire une différence.
Voilà ce que la Fondation Pierre Elliott Trudeau s’efforce de faire chaque jour en favorisant le développement de nos boursier.e.s, des leaders engagé.e.s qui utilisent leurs connaissances et leurs compétences pour faire une différence dans leurs communautés et dans le monde.
Pour mener à bien cette mission, la Fondation est fière de nouer des relations solides et constructives avec des organisations partageant nos objectifs communs d’inclusion, de diversité, d’innovation et de développement durable.
Voilà ce que la Fondation Pierre Elliott Trudeau s’efforce de faire chaque jour en favorisant le développement de nos boursier.e.s, des leaders engagé.e.s qui utilisent leurs connaissances et leurs compétences pour faire une différence dans leurs communautés et dans le monde.
Pour mener à bien cette mission, la Fondation est fière de nouer des relations solides et constructives avec des organisations partageant nos objectifs communs d’inclusion, de diversité, d’innovation et de développement durable.
La Fondation Pierre Elliott Trudeau nomme ses boursier.e.s 2019
20 doctorant.e.s exceptionnels seront les premier.e.s à participer au nouveau programme de leadership de la Fondation
Un nombre record de 20 doctorant.e.s en sciences humaines et sociales se voient décerner l’unique et audacieuse bourse de la Fondation Pierre Elliott Trudeau.
Un nombre record de 20 doctorant.e.s en sciences humaines et sociales se voient décerner l’unique et audacieuse bourse de la Fondation Pierre Elliott Trudeau.
Notre mission
La Fondation Pierre Elliott Trudeau offre beaucoup plus qu’une bourse d’études. Elle est un tremplin pour les doctorantes et doctorants audacieux et avant-gardistes qui veulent devenir des leaders ayant un impact significatif dans leurs organisations et leurs communautés.
Ensemble, nos boursiers, fellows, mentors et anciens forment une communauté unique d’universitaires et de leaders qui se réunissent pour explorer de nouvelles idées, de nouveaux thèmes et de nouveaux horizons.
Ensemble, nos boursiers, fellows, mentors et anciens forment une communauté unique d’universitaires et de leaders qui se réunissent pour explorer de nouvelles idées, de nouveaux thèmes et de nouveaux horizons.
La Fondation Pierre Elliott Trudeau nomme les lauréat.e.s 2019
Cette année, la Fondation entame un nouveau chapitre avec le lancement des Instituts sur le leadership engagé. Ce programme appuiera le développement des compétences en leadership des boursier.e.s de la Fondation, les aidant à accroître l’impact de leurs recherches dans leurs institutions et leurs communautés.
La Fondation Pierre Elliott Trudeau nomme ses mentor.e.s 2019
Nos mentor.e.s 2019 constituent un groupe exceptionnel de professionnel.le.s talentueux.ses qui apportent une expérience riche et diversifiée à la communauté de la Fondation Pierre Elliott Trudeau. Les mentor.e.s jouent un rôle essentiel en conseillant, en guidant et en inspirant nos boursier.e.s.
Un an déjà
Ce fut une année extraordinaire dans la vie de la Fondation Pierre Elliott Trudeau.
Le 9 juillet 2019 marque le premier anniversaire de l’arrivée de Pascale Fournier au poste de présidente et chef de la direction, avec le mandat d'apporter un souffle nouveau aux programmes de la Fondation. Tou.te.s les membres de la communauté de la Fondation peuvent être fier.e.s des progrès accomplis par la Fondation pour mettre davantage l’accent sur le développement des boursier.e.s en tant que leaders engagé.e.s. L'innovation de nos programmes met plus clairement en évidence la mission de la Fondation : soutenir nos boursier.e.s afin qu'ils et elles puissent avoir un impact significatif et apporter des changements positifs dans le monde.
Nous avons atteint de nombreux objectifs au cours de ces douze derniers mois, qui furent très chargés et exaltants.
Le 9 juillet 2019 marque le premier anniversaire de l’arrivée de Pascale Fournier au poste de présidente et chef de la direction, avec le mandat d'apporter un souffle nouveau aux programmes de la Fondation. Tou.te.s les membres de la communauté de la Fondation peuvent être fier.e.s des progrès accomplis par la Fondation pour mettre davantage l’accent sur le développement des boursier.e.s en tant que leaders engagé.e.s. L'innovation de nos programmes met plus clairement en évidence la mission de la Fondation : soutenir nos boursier.e.s afin qu'ils et elles puissent avoir un impact significatif et apporter des changements positifs dans le monde.
Nous avons atteint de nombreux objectifs au cours de ces douze derniers mois, qui furent très chargés et exaltants.
Les enseignements du guardianship entourant la protection de Te Urewera et Te Awa Tupua
Récit d’un stage de recherche en Aotearoa Nouvelle-Zélande
Cet article a été rédigé par Stéphanie Roy, boursière 2017 de la Fondation Pierre Elliott Trudeau.
Grâce à ma bourse doctorale de la Fondation Pierre-Elliott Trudeau, j’ai eu l’occasion, au printemps dernier, de réaliser un stage de recherche de deux mois en tant que chercheure invitée à la Victoria University of Wellington en Aotearoa Nouvelle-Zélande. Il s’agit évidemment d’une opportunité inestimable pour quelqu’un qui, comme moi, s’intéresse aux enjeux environnementaux, ce pays étant doté d’un patrimoine naturel incroyable.
Cet article a été rédigé par Stéphanie Roy, boursière 2017 de la Fondation Pierre Elliott Trudeau.
Grâce à ma bourse doctorale de la Fondation Pierre-Elliott Trudeau, j’ai eu l’occasion, au printemps dernier, de réaliser un stage de recherche de deux mois en tant que chercheure invitée à la Victoria University of Wellington en Aotearoa Nouvelle-Zélande. Il s’agit évidemment d’une opportunité inestimable pour quelqu’un qui, comme moi, s’intéresse aux enjeux environnementaux, ce pays étant doté d’un patrimoine naturel incroyable.
Gillian McKay: la Journée mondiale de l'aide humanitaire
Gillian McKay est boursière 2016 de la Fondation Pierre Elliott Trudeau. De janvier à mai 2019, Gillian a suspendu ses études afin de se joindre à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans sa lutte contre le virus Ebola en République démocratique du Congo. Elle revient sur son expérience dans ce récit de première ligne.
Les gens me demandent toujours, lorsque je me mobilise pour une épidémie d’Ebola : « Tu n’as pas peur ? » et la réponse est habituellement : « Non, pas vraiment, je suis assez bonne dans ce domaine ». Ce qui, je le sais, doit paraître un peu étrange : c’est inhabituel d’être une experte des fièvres hémorragiques virales. Après avoir travaillé pendant neuf mois sur la grande épidémie en Afrique de l’Ouest en 2014 et 2015, puis entamé mon doctorat sur la santé reproductive pendant les épidémies d’Ebola, c’est maintenant devenu ma spécialité. Ainsi, quand on m’a demandé de me rendre en République démocratique du Congo (RDC) avec l’OMS pour soutenir l’équipe de prévention et de contrôle des infections dans l’épisode actuel d’Ebola, j’ai pensé que je serais dans mon élément. Il s’avère que peu de problèmes reliés à l’Ebola sont techniques. Il s’agit presque entièrement de facteurs environnementaux locaux et j’ai trouvé la courbe d’apprentissage très raide, compte tenu des circonstances uniques de cette éclosion.
L’épidémie actuelle se trouve principalement dans le Nord-Kivu, une région de la RDC en conflit depuis plus de 20 ans où on compte plus de cent groupes armés. Il y règne une profonde méfiance à l’égard du gouvernement congolais et l’infrastructure sanitaire est médiocre. Ensemble, ces éléments rendent la lutte contre une épidémie mortelle extrêmement difficile.
Il y a eu des avancées importantes depuis l’épidémie en Afrique de l’Ouest, notamment un vaccin très efficace et des traitements expérimentaux visant à améliorer les chances de survie des personnes atteintes. Mais ces outils ne sont utiles que lorsque les intervenant.e.s ont accès aux personnes qui en ont besoin et lorsque les personnes malades ont suffisamment confiance en la réponse humanitaire et le système de santé. Dans une zone touchée par un conflit avec une population fortement marginalisée depuis des années, aucune de ces choses n’est garantie. Une citation dans un rapport récent de Médecins sans frontières explique pourquoi il est si difficile de gagner la confiance et l’engagement de la population locale dans les activités de lutte contre le virus Ebola :
« Si vous teniez à nous, vous nous demanderiez nos priorités. Ma priorité est la sécurité de mes enfants, et veiller à ce qu’ils ne meurent pas de malaria ou de la diarrhée. Ma priorité n’est pas Ebola. C’est votre priorité. »
Pour essayer de créer un climat de confiance entre les intervenant.e.s et la communauté locale, l’une de mes premières tâches en RDC a été de mener une petite étude par le biais d’une série de discussions sur l’impact de la réponse humanitaire sur la région. Les résultats étaient à la fois surprenants et attendus. J’ai été surprise de voir à quel point les travailleur.se.s humanitaires se sentaient seul.e.s et effrayé.e.s. Ils et elles m’ont souvent dit se sentir comme les ennemis du peuple, car si un patient se présente dans leur établissement avec des symptômes pouvant suggérer la présence du virus Ebola (fièvre, vomissements, fatigue), ils doivent contacter les équipes d’enquêteur.se.s afin de déterminer si la personne en est bel et bien atteinte. De plus, les travailleur.se.s humanitaires peuvent être attaqué.e.s par la population locale pour avoir « collaboré » à la réponse humanitaire.
Les gens me demandent toujours, lorsque je me mobilise pour une épidémie d’Ebola : « Tu n’as pas peur ? » et la réponse est habituellement : « Non, pas vraiment, je suis assez bonne dans ce domaine ». Ce qui, je le sais, doit paraître un peu étrange : c’est inhabituel d’être une experte des fièvres hémorragiques virales. Après avoir travaillé pendant neuf mois sur la grande épidémie en Afrique de l’Ouest en 2014 et 2015, puis entamé mon doctorat sur la santé reproductive pendant les épidémies d’Ebola, c’est maintenant devenu ma spécialité. Ainsi, quand on m’a demandé de me rendre en République démocratique du Congo (RDC) avec l’OMS pour soutenir l’équipe de prévention et de contrôle des infections dans l’épisode actuel d’Ebola, j’ai pensé que je serais dans mon élément. Il s’avère que peu de problèmes reliés à l’Ebola sont techniques. Il s’agit presque entièrement de facteurs environnementaux locaux et j’ai trouvé la courbe d’apprentissage très raide, compte tenu des circonstances uniques de cette éclosion.
L’épidémie actuelle se trouve principalement dans le Nord-Kivu, une région de la RDC en conflit depuis plus de 20 ans où on compte plus de cent groupes armés. Il y règne une profonde méfiance à l’égard du gouvernement congolais et l’infrastructure sanitaire est médiocre. Ensemble, ces éléments rendent la lutte contre une épidémie mortelle extrêmement difficile.
Il y a eu des avancées importantes depuis l’épidémie en Afrique de l’Ouest, notamment un vaccin très efficace et des traitements expérimentaux visant à améliorer les chances de survie des personnes atteintes. Mais ces outils ne sont utiles que lorsque les intervenant.e.s ont accès aux personnes qui en ont besoin et lorsque les personnes malades ont suffisamment confiance en la réponse humanitaire et le système de santé. Dans une zone touchée par un conflit avec une population fortement marginalisée depuis des années, aucune de ces choses n’est garantie. Une citation dans un rapport récent de Médecins sans frontières explique pourquoi il est si difficile de gagner la confiance et l’engagement de la population locale dans les activités de lutte contre le virus Ebola :
« Si vous teniez à nous, vous nous demanderiez nos priorités. Ma priorité est la sécurité de mes enfants, et veiller à ce qu’ils ne meurent pas de malaria ou de la diarrhée. Ma priorité n’est pas Ebola. C’est votre priorité. »
Pour essayer de créer un climat de confiance entre les intervenant.e.s et la communauté locale, l’une de mes premières tâches en RDC a été de mener une petite étude par le biais d’une série de discussions sur l’impact de la réponse humanitaire sur la région. Les résultats étaient à la fois surprenants et attendus. J’ai été surprise de voir à quel point les travailleur.se.s humanitaires se sentaient seul.e.s et effrayé.e.s. Ils et elles m’ont souvent dit se sentir comme les ennemis du peuple, car si un patient se présente dans leur établissement avec des symptômes pouvant suggérer la présence du virus Ebola (fièvre, vomissements, fatigue), ils doivent contacter les équipes d’enquêteur.se.s afin de déterminer si la personne en est bel et bien atteinte. De plus, les travailleur.se.s humanitaires peuvent être attaqué.e.s par la population locale pour avoir « collaboré » à la réponse humanitaire.
Journée internationale de la charité
Chaque année, la Fondation Pierre Elliott Trudeau sélectionne des mentor.e.s qui sont des praticien.ne.s de tous horizons au service du développement des capacités en leadership engagé des boursier.e.s.
Dans le cadre de la Journée internationale de la charité, nous braquons les projecteurs sur trois mentor.e.s de la Fondation Pierre Elliott Trudeau qui se démarquent dans leurs secteurs d'activités respectifs.
André Picard, mentor 2018, est journaliste et chroniqueur en matière santé au quotidien The Globe and Mail et auteur de l’ouvrage A Call to Alms: The New Face Of Charity In Canada. En 2011, Le Collège des médecins de famille du Canada lui a décerné le Prix de la Conférence en médecine familiale CMFC/Banque Scotia. André a décidé de remettre son prix de 15 000 $ à Médecins Sans Frontières, l’organisme de bienfaisance de son choix. Il a aussi reçu la médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II pour son dévouement à l'amélioration de la santé au Canada.
Son travail a été récompensé par plusieurs groupes d'intérêt en matière de santé, notamment SécuriJeunes Canada, l’Association canadienne pour la santé mentale, l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale et la Société canadienne de l’ouïe.
André a participé à plusieurs organisations professionnelles et groupes à but non lucratif et a été membre des comités consultatifs de l’Institut canadien de la santé infantile, de Jeunes en forme Canada, de Centraide/United Way Montréal ainsi que du Journal de l’association médicale canadienne.
Lia Grimanis, mentore 2019, est la fondatrice et PDG d’Up With Women, un organisme à but non lucratif qui aide les femmes récemment sans abri et à risque à se bâtir une carrière durable et prospère en ayant comme objectif de se sortir de la pauvreté de façon permanente. Le travail de Lia dans le secteur du sans-abrisme repose sur sa propre expérience : elle a survécu à la violence et a connu l’itinérance en tant qu’adolescente autiste. Lia a gravi les échelons en entreprise jusqu’au poste de directrice régionale des services financiers d’Americas, une division de l’entreprise de technologie mondiale TIBCO. Aujourd’hui, elle gère à temps plein le programme de formation professionnelle pour les femmes d’Up With Women.
« Il a été constaté que le fait de mener sa vie en y donnant un sens et un but permet d’accroître la résilience, de réduire l’anxiété et la dépression ainsi que d’augmenter notre sentiment général de vitalité. Nous sommes nés pour prendre soin les un.e.s des autres. »
Nous tenons également à mettre en lumière l’apport de Mary Anne Chambers, mentore 2018, qui a personnellement financé des bourses d'études pour plus de 35 étudiant.e.s universitaires et collégiaux en Ontario. De 2007 à 2017, en partenariat avec l'Université de Toronto Scarborough, elle a parrainé et servi de conseillère pour le programme de mentorat académique IMANI, qui a bénéficié à des centaines d'étudiant.e.s d’écoles intermédiaires et secondaires.
Mary Anne Chambers a siégé au conseil d’administration de plusieurs organismes à but non lucratif, y compris Cuso International, le Centre de toxicomanie et de santé mentale, le Project for the Advancement of Childhood Education, Centraide/United Way Canada, Centraide/United Way Toronto, YMCA Toronto et le Rouge Valley Health System.
Elle a également été nommée à l'Ordre de l'Ontario et a reçu la Médaille du service méritoire du Gouverneur général du Canada.
Les journées internationales s’avèrent des occasions de sensibiliser le public aux questions préoccupantes, de mobiliser la volonté politique et les ressources pour résoudre les problèmes mondiaux ainsi que de célébrer et de renforcer les réalisations de l’humanité.
Dans le cadre de la Journée internationale de la charité, nous braquons les projecteurs sur trois mentor.e.s de la Fondation Pierre Elliott Trudeau qui se démarquent dans leurs secteurs d'activités respectifs.
André Picard, mentor 2018, est journaliste et chroniqueur en matière santé au quotidien The Globe and Mail et auteur de l’ouvrage A Call to Alms: The New Face Of Charity In Canada. En 2011, Le Collège des médecins de famille du Canada lui a décerné le Prix de la Conférence en médecine familiale CMFC/Banque Scotia. André a décidé de remettre son prix de 15 000 $ à Médecins Sans Frontières, l’organisme de bienfaisance de son choix. Il a aussi reçu la médaille du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II pour son dévouement à l'amélioration de la santé au Canada.
Son travail a été récompensé par plusieurs groupes d'intérêt en matière de santé, notamment SécuriJeunes Canada, l’Association canadienne pour la santé mentale, l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale et la Société canadienne de l’ouïe.
André a participé à plusieurs organisations professionnelles et groupes à but non lucratif et a été membre des comités consultatifs de l’Institut canadien de la santé infantile, de Jeunes en forme Canada, de Centraide/United Way Montréal ainsi que du Journal de l’association médicale canadienne.
Lia Grimanis, mentore 2019, est la fondatrice et PDG d’Up With Women, un organisme à but non lucratif qui aide les femmes récemment sans abri et à risque à se bâtir une carrière durable et prospère en ayant comme objectif de se sortir de la pauvreté de façon permanente. Le travail de Lia dans le secteur du sans-abrisme repose sur sa propre expérience : elle a survécu à la violence et a connu l’itinérance en tant qu’adolescente autiste. Lia a gravi les échelons en entreprise jusqu’au poste de directrice régionale des services financiers d’Americas, une division de l’entreprise de technologie mondiale TIBCO. Aujourd’hui, elle gère à temps plein le programme de formation professionnelle pour les femmes d’Up With Women.
« Il a été constaté que le fait de mener sa vie en y donnant un sens et un but permet d’accroître la résilience, de réduire l’anxiété et la dépression ainsi que d’augmenter notre sentiment général de vitalité. Nous sommes nés pour prendre soin les un.e.s des autres. »
Nous tenons également à mettre en lumière l’apport de Mary Anne Chambers, mentore 2018, qui a personnellement financé des bourses d'études pour plus de 35 étudiant.e.s universitaires et collégiaux en Ontario. De 2007 à 2017, en partenariat avec l'Université de Toronto Scarborough, elle a parrainé et servi de conseillère pour le programme de mentorat académique IMANI, qui a bénéficié à des centaines d'étudiant.e.s d’écoles intermédiaires et secondaires.
Mary Anne Chambers a siégé au conseil d’administration de plusieurs organismes à but non lucratif, y compris Cuso International, le Centre de toxicomanie et de santé mentale, le Project for the Advancement of Childhood Education, Centraide/United Way Canada, Centraide/United Way Toronto, YMCA Toronto et le Rouge Valley Health System.
Elle a également été nommée à l'Ordre de l'Ontario et a reçu la Médaille du service méritoire du Gouverneur général du Canada.
Les journées internationales s’avèrent des occasions de sensibiliser le public aux questions préoccupantes, de mobiliser la volonté politique et les ressources pour résoudre les problèmes mondiaux ainsi que de célébrer et de renforcer les réalisations de l’humanité.
Benjamin Gagnon Chainey rend hommage à Hervé Guibert
Le boursier 2017 Benjamin Gagnon Chainey a coorganisé une journée d'étude internationale sur Hervé Guibert, écrivain multidisciplinaire séropositif décédé en 1991.
Presque 30 ans après sa mort, Hervé Guibert est l'un des auteurs centraux de la recherche doctorale de Benjamin Gagnon Chainey, qui examine les liens entre la littérature, les identités sexuelles et culturelles, et la pratique de la médecine.
Cette journée rassemblera les plus grand.e.s spécialistes de l'œuvre de Guibert, ainsi qu'un hématologue montréalais de renom, le Dr Jean-Pierre Routy du CUSM, qui œuvre auprès des malades du sida depuis le début de la pandémie.
L'événement gratuit aura lieu à l’Université de Montréal le 16 septembre.
Le programme complet est disponible ici.
Presque 30 ans après sa mort, Hervé Guibert est l'un des auteurs centraux de la recherche doctorale de Benjamin Gagnon Chainey, qui examine les liens entre la littérature, les identités sexuelles et culturelles, et la pratique de la médecine.
Cette journée rassemblera les plus grand.e.s spécialistes de l'œuvre de Guibert, ainsi qu'un hématologue montréalais de renom, le Dr Jean-Pierre Routy du CUSM, qui œuvre auprès des malades du sida depuis le début de la pandémie.
L'événement gratuit aura lieu à l’Université de Montréal le 16 septembre.
Le programme complet est disponible ici.