Aytak Akbari-Dibavar
Profil
Aytak Akbari-Dibavar est actuellement étudiante au doctorat à l'Université York ; elle enquête sur la transmission transgénérationnelle du traumatisme au sein des communautés meurtries. Elle a également obtenu son diplôme de droit en Iran, où elle a travaillé auprès d'un influent avocat des droits de l'homme. Elle a quitté l'Iran à 22 ans. Tout en achevant son deuxième diplôme de premier cycle à l'Université York, elle a commencé à réfléchir de façon critique à son expérience dans le contexte de la théorie critique. Sa passion à contribuer à l'organe démocratique universitaire l'a mené à devenir bénévole pour divers projets au sein de l'Université York. Mme Akbari-Dibavar a occupé divers postes tels que leader pour la réussite des étudiants et conseillère auprès de ses pairs. Sous la supervision du vice-doyen aux affaires étudiantes, elle a lancé un projet afin que d'anciens étudiants prospères de l'Université York agissent comme mentors en carrière auprès d'étudiants actuels. Ce projet lui a valu un prix de leadership de l'Université York. Elle est également bénévole au Centre canadien pour Victimes de Torture. Dans le cadre de ses études de premier cycle et de sa maîtrise, elle a participé à des conférences de premier plan et publié des articles dans des revues évaluées par des pairs.
Mme Akbari-Dibavar est actuellement étudiante diplômée affiliée et vice-présidente du caucus des étudiants du York Centre for Refugee Studies, dont elle organise la conférence annuelle. Elle est également coordinatrice de recherche pour « Des Marges au centre par l'éducation : Intégrer les victimes de traumatisme et de torture, » un projet financé par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada. Ce projet de recherche est mené par le Collège George Brown en collaboration avec le Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) et le Centre canadien pour les victimes de la torture (CCVT), et cherche à mettre au jour les barrières et difficultés auxquelles sont confrontés les réfugiés et les victimes d'oppression politique quand ils entament une éducation supérieure. Le projet explore également comment les institutions d'enseignement supérieur peuvent répondre aux besoins uniques des réfugiés et des survivants.